Cahier 2017 groupe n°7 : Différence entre versions
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Microsoft propose avec la nouvelle version de son OS Windows 10, une solution Docker permettant de mettre en place des conteneurs Linux sous Windows. Notre but est donc de tester les conteneurs proposés par Windows afin de voir si une application Linux peut être fonctionnelle. Microsoft indique que les conteneurs Linux ne peuvent pas prendre de connexion réseau en charge. Nous allons donc voir si une prise en charge du réseau est possible. | Microsoft propose avec la nouvelle version de son OS Windows 10, une solution Docker permettant de mettre en place des conteneurs Linux sous Windows. Notre but est donc de tester les conteneurs proposés par Windows afin de voir si une application Linux peut être fonctionnelle. Microsoft indique que les conteneurs Linux ne peuvent pas prendre de connexion réseau en charge. Nous allons donc voir si une prise en charge du réseau est possible. | ||
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+ | == Installation et configuration de Windows == | ||
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+ | == Installation de docker == | ||
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+ | == lancement d'un conteneur == |
Version du 9 novembre 2017 à 13:54
Sommaire
Tâches communes
Afin de réaliser ce TP, nous allons créer une machine virtuelle sur le serveur cordouan de l'école.
Installation et configuration de la machine
Installation
La création d'une machine virtuelle se fait grâce à la commande xen. On exécute la commande xen-create-image afin de créer l'image de notre VM
xen-create-image --hostname=IMA5-Ananas --ip=193.48.57.181 --netmask=255.255.255.240 --dir=/usr/local/xen
Une fois l'image créée, on peut créer notre VM grâce à la commande:
xl create /etc/xen/IMA5-Ananas.cfg
On se connecte à la VM grâce à la commande:
xl console IMA5-Ananas
Et on peut éteindre ou détruire la VM grâce au commande:
xl shutdown IMA5-Ananas xl destroy IMA5-Ananas
Configuration
Un fois la VM Créée, nous allons modifier son répertoire var et home afin qu'ils soient une partition de l'hôte. Pour cela, on va utiliser la commande lvcreate.
lvcreate -L10G -IMA5-Ananas-home lvcreate -L10G -IMA5-Ananas-var
On modifie le fichier de configuration de notre VM pour qu'elle prenne en compte ces disques et on la relance.
Nos disques home et var s’appelleront donc xvda3 et xvda4.
Dans notre machine nous transformons nos disque en partitions ext4.
mkfs -t ext4 /dev/xvda3 mkfs -t ext4 /dev/xvda4
Pour la partition home, nous modifier simplement le fichier /etc/fstab de la VM en y ajoutant la ligne suivante:
/dev/xvda3 /home ext4 defaults 0 2
Pour la partition var, il faut faire attention à ne pas perdre les données existante. Pour cela, on va monter notre partition et y déplacer le contenue de notre dossier var:
mount /dev/xvda4 /mnt mv /var/* /mnt
Une fois ceci effectué, nous pouvons répéter l'opération de la partition home:
/dev/xvda4 /var ext4 defaults 0 2
Serveur SSH
Nous souhaitons pouvoir nous connecter grâce à SSH à notre VM (pour ne plus passer par xl console).
Pour cela, on installe ssh sur notre machine:
apt-get install ssh
On modifier par la suite le fichier /etc/ssh/ssh_config pour autoriser la connexion en temps que root:
PermitRootLogin yes
Puis on redemarre le service:
service ssh restart
Une fois cela fait, on peut se connecter à la machine depuis une machine de l'école grâce à la commande
ssh 193.48.57.181 -l root
Serveur DNS
Pour réaliser notre serveur DNS, nous allons acheter un nom de domain sur le site Gandi. En s'assurant qu'il autorisera l'installation d'un DNSSEC pour la suite du TP. On achète donc le nom de domain kerval.space.
Sur notre VM, on installe blind9 et apache2:
apt-get install bind9 apache2
Dans le dossier /var/www on créer un dossier www.kerval.space pour plus tard
mkdir /var/www/www.kerval.space
Une fois ceci fait, nous allons écrire la table DNS db.kerval.space dans le dossier /etc/bind/
; ; BIND data file for local loopback interface ; $TTL 604800 @ IN SOA ns.kerval.space. root.kerval.space ( 2 ; Serial 604800 ; Refresh 86400 ; Retry 2419200 ; Expire 604800 ) ; Negative Cache TTL ; IN NS ns.kerval.space. ns IN A 193.48.57.181 www IN A 193.48.57.181
On modifie le fichier named.conf.options. On note que l'adresse 217.70.177.40 est celle de notre DNS esclave (Gandi).
options { directory "var/cache/bind" dnssec-validation auto; auth-nxdomain no; allow-transfer {"allowed_to_transfer";} listen-on-v6 {any;} } acl "allowed_to_transfer" { 217.70.177.40/32; }
Une fois ces modifications apportée, on peut redémarrer notre service.
service bind9 restart
Afin que le serveur fonctionne, nous devons aussi configurer Gandi pour y renseigner notre DNS
Dans les "glues records":
'Nom du serveur' : ns.kerval.space 'IP' : 193.48.57.181
Les DNS:
'DNS1' : ns.kerval.space 'DNS2' : ns6.gandi.net
Sécurisation par certificat SSL
Pour avoir un certificat SSL de Gandi, on génére dans un premier temps un CSR
openssl req -nodes -newkey rsa:2048 -sha1 -keyout kerval.space.key -out kerval.space.csr
On entre les différents informations demandées.
Country Name (2 letter code) [AU]:FR State or Province Name (full name) [Some-State]:Nord Locality Name (eg, city) []:Lille Organization Name (eg, company) [Internet Widgits Pty Ltd]:kerval.space Organizational Unit Name (eg, section) []:kerval.space Common Name (e.g. server FQDN or YOUR name) []:kerval.space
Une fois notre certificat généré puis validé par Gandi ( très long), on place les fichiers dans les bons dossiers. On note que le fichier GandiStandardSSLCA2.pem est un certificat intermédiaire.
cp kerval.space.crt /etc/ssl/certs/kerval.space.crt cp kerval.space.key /etc/ssl/private/kerval.space.key cp GandiStandardSSLCA2.pem /etc/ssl/certs/GandiStandardSSLCA2.pem
Une fois cela fait, on peut refaire un hachage pour prendre notre certificat en compte.
c_rehash /etc/ssl/certs
On vas devoir associer notre service apache2 avec notre nom de serveur. Pour cela on créé un fichier 000-kerval.space-ssl.conf dans notre dossier apache:
touch /etc/apache2/sites-available/000-kerval.space-ssl.conf
#NameVirtualHost *:443 <VirtualHost 193.48.57.181:443> ServerName www.kerval.space ServerAlias kerval.space DocumentRoot /var/www/www.kerval.space/ CustomLog /var/log/apache2/secure_acces.log combined SSLEngine on SSLCertificateFile /etc/ssl/certs/kerval.space.crt SSLCertificateKeyFile /etc/ssl/private/kerval.space.key SSLCertificateChainFile /etc/ssl/certs/GandiStandardSSLCA2.pem SSLVerifyClient None </VirtualHost> <Directory /var/www/www.kerval.space> Require all granted </Directory> ServerName "kerval.space"
On modifie ensuite le fichier ports.conf d'apache pour qu'il puisse écouter le port 443
Listen 80 443 <IfModule ssl_module> Listen 443 </IfModule>
il ne reste plus qu'a activer le module SSL d'apache et notre site:
a2enmod ssl a2ensite 000-kerval.space-ssl.conf service apache2 reload
Sécurisation par DNSSEC
Pour mettre en place un DNSSEC, on modifie d'abord les options de blind9, dans /etc/blind/named.conf.options:
dnssec-enable yes;
On va générer nos clefs KSK et ZSK grâce aux commandes:
dnssec-keygen -a RSASHA1 -b 2048 -f KSK -r /dev/urandom -n ZONE kerval.space dnssec-keygen -a RSASHA1 -b 1024 -r /dev/urandom -n ZONE kerval.space
Pour falicité le travail, on renomme les clefs en kerval.space-ksk.key et kerval.space-zsk.key.
Dans notre fichier db.kerval.space, on ajoute les lignes suivante:
$include /etc/bind/kerval.space.dnssec/kerval.space-ksk.key $include /etc/bind/kerval.space.dnssec/kerval.space-zsk.key
A noter que le dossier kerval.space.dnssec a été créé avant la génération des clefs.
Coté VM, il ne nous reste plus qu'a signer la zone:
dnssec-signzone -o kerval.space -k kerval.space-ksk ../db.kerval.space kerval.space-zsk
Du coté de Gandi, il faut renseigner les clefs publique de la KSK et ZSK dans la section "Gérer DNSSEC"
RAID5
Afin de protéger nos données, nous allons installer un systeme raid5 sur notre VM. Pour ce faire, nous allons créer 3 disques virtuels sur cordouan.
lvcreate -L 1G -n /dev/virtual/Ananas-raid1 lvcreate -L 1G -n /dev/virtual/Ananas-raid2 lvcreate -L 1G -n /dev/virtual/Ananas-raid3
Puis les ajouter à la configuration de notre VM:
'phy:/dev/virtual/Ananas-raid1,xvdd1, w', 'phy:/dev/virtual/Ananas-raid2,xvdd2, w', 'phy:/dev/virtual/Ananas-raid3,xvdd3, w',
Une fois cela fait, on redemare notre VM pour que les nouveaux disque soient pris en compte et on installe mdadm:
apt-get install mdadm
On peut ensuite créer un disque RAID5 nommé md0:
mdadm --create /dev/md0 --level=5 --assume-clean --raid-devices=3 /dev/xvdd1 /dev/xvdd2 /dev/xvdd3
on transforme notre disque en partition ext4 et on la monte:
mkfs -t ext4 /dev/md0 mount /dev/md0 /mnt
On crée un fichier sur notre disque et on supprime une partitions pour vérifier la reconstitution du fichier par RAID5:
mdadm --set-faulty /dev/md0 /dev/xvdd3 mdadm --remove /dev/md0 /dev/xvdd3
On constate que notre fichier est toujours présents et on ajoute de nouveau la partition
mdadm -add /dev/md0 /dev/xvdd3
avec la commande: cat /proc/mdstat on peut observer la reconstruction du disque.
Cryptage des données
On souhaite crypter nos données pour les sécuriser. Pour cela on va ajouter un disque xvdd4 a notre VM comme précédemment pour les disques RAIDs.
Une fois monter en partition ext4, on configure la partition:
fdisk /dev/xvdd4 "d pour supprimer les partitions 1-2-3" "n pour ajouter des partitions" "w pour enregistrer"
On configure la partition en type Lucks avec un algorithme de hachage SHA256:
cryptsetup luksFormat -c eas -h sha256 /dev/xvdd4
On entre un mot de passe: bandederelou
Puis on vérifie les infos de la partitions:
cryptsetup luksDump /dev/xvdd4
On peut ensuite ouvrir la partitions, la monter et la démonter:
cryptsetup luksOpen /dev/xvdd4 mkfs.ext4 /dev/mapper/crypt /mnt mount -t ext4 /dev/mapper/crypt /mnt/ umount /mnt/
Si un demonte la partition, il faut re-crypter la partiton:
cryptsetup luksClose crypt
Tâche spécifique
Présentation
Microsoft propose avec la nouvelle version de son OS Windows 10, une solution Docker permettant de mettre en place des conteneurs Linux sous Windows. Notre but est donc de tester les conteneurs proposés par Windows afin de voir si une application Linux peut être fonctionnelle. Microsoft indique que les conteneurs Linux ne peuvent pas prendre de connexion réseau en charge. Nous allons donc voir si une prise en charge du réseau est possible.